L'attaquant du Real Madrid, Karim Benzema, après son but en Coupe du Roi contre le FC Séville, le 26 janvier 2011 J.Nazca/REUTERS
FOOT - Au lendemain de l'arrivée d'Emmanuel Adebayor au club...
Que ce soit pour la photo ou en signe de reconnaissance, Karim Benzema a bien serré José Mourinho dans ses bras, mercredi soir. Benzegol a même eu droit à deux petites tapes amicales dans le dos. Juste après son but décisif face au FC Séville, en demi-finale aller de la Coupe du Roi (1-0), l’attaquant du Real a foncé vers son banc, histoire de balayer quelques doutes sur la relation qui le lie à son coach.Son slalom dans la surface, suivi d’un crochet et d’une frappe du gauche permet aux Merengue d’aborder le match retour avec un matelas confortable. Critiqué pour son faible rendement, Benzema a montré, quatre jours après un autre but décisif en championnat, qu’il pouvait faire le boulot en attaque. Moins de 24 heures auparavant, le Real l’avait pourtant mis sous pression en engageant un nouvel attaquant, Emmanuel Adebayor, qui n'était pas encore qualifié pour cette rencontre.
Montre Alain Silberstein
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